Nice Provence Info toujours en vie en cette fin 2019

Malgré l’at­ten­tat que nous avons subi le 26 avril 2019 lorsque notre ancien héber­geur OVH a effa­cé l’in­té­gra­li­té de notre site ain­si que les 30 jours de sau­ve­garde, Nice Provence Info a pu renaître de ses cendres.

Le_Phénix_renaissant_de_ses_cendres

Redémarrant un nou­veau site chez un nou­vel héber­geur (Infomaniak en Suisse) et s’ap­puyant sur une nou­velle tech­no­lo­gie, Nice Provence Info a peu à peu recons­ti­tué son lectorat.

300 000

C’est le nombre de pages lues sur Nice Provence Info depuis notre renais­sance le 13 mai 2019. Ces 300 000 articles lus sont autant de vic­toires sur la cen­sure qui aurait vou­lu nous anéan­tir le 26 avril 2019 en effa­çant notre site et 30 jours de sau­ve­garde avec la com­pli­ci­té de notre ancien héber­geur. Parmi ces 300 000 lec­tures, des mil­liers d’es­prits ont acquis une matu­ri­té poli­tique en se libé­rant du prêt-à-pen­ser idéo­lo­gique assé­né par tous les médias sub­ven­tion­nés, bien qu’ils soient la pro­prié­té de quelques mil­liar­daires. Notre équipe de rédac­tion s’i­ma­gine que chaque jour plu­sieurs lumières s’al­lument chez nos lec­teurs en décou­vrant dans nos colonnes une véri­té cachée, une ana­lyse ori­gi­nale, un sujet tabou. Toutes ces lumières qui s’al­lument sont autant d’en­cou­ra­ge­ments qui nous incitent à per­sé­vé­rer coûte que coûte.

Nous avions subi il y a deux ans la clô­ture de notre compte de col­lecte des dons par Hello Asso sans la moindre expli­ca­tion. Le canard est tou­jours vivant comme l’au­rait dit Robert Lamoureux.Robert Lamoureux - Canard toujours vivant

Le Pouvoir pour­suit son des­sein de contrôle des esprits qui passe par le contrôle des médias. L’Éducation natio­nale, c’est déjà fait. La loi Avia, por­tée par Laetitia Avia, dépu­tée LREM de Paris, auto­rise doré­na­vant la déla­tion comme le dénonce l’OJIM (Observatoire du Journalisme) :

Par un simple clic les inter­nautes pour­ront signa­ler au réseau social un conte­nu « illi­cite ». Les opé­ra­teurs auront alors obli­ga­tion de sup­pri­mer, déré­fé­ren­cer le conte­nu dans les 24h sous peine d’amende. Quand on connaît un peu l’histoire de France et le goût pour la déla­tion d’une part signi­fi­ca­tive de nos conci­toyens (remon­tons sim­ple­ment à la période de l’occupation et celle de la libé­ra­tion), il va y avoir du monde au por­tillon. Pire, des groupes orga­ni­sés pour­ront faire sup­pri­mer tout sujet qu’ils juge­raient « contraire à la loi ». L’opinion « L’immigration est un désastre pour les Européens » pour­ra être assi­mi­lée à un « dis­cours de haine » par les groupes de pres­sion. Elle sera pour­chas­sée, réduite au silence, éra­di­quée. Ce qui est sans doute l’objectif majeur de la loi.

Ce n’est pas tout. Cette loi fon­da­men­ta­le­ment déla­trice oblige en outre les annon­ceurs à publier la liste de tous les sites où ils dif­fusent leurs publi­ci­tés. Le secré­taire d’État char­gé du Numérique, Cédric O, le recon­naît ouver­te­ment : il orga­nise une chasse aux sor­cières. « Je suis cer­tain que cer­taines orga­ni­sa­tions se pen­che­ront sur le sujet et les aler­te­ront, ce qui en fait assèche une par­tie du finan­ce­ment des sites extrêmes ou que nous sou­hai­tons ici voir dis­pa­raître » dit il sans ver­gogne. Voilà qui est clair.

Nice Provence Info refuse tout finan­ce­ment par la publi­ci­té, ce qui ne risque pas de mettre à mal nos annonceurs.

Nos dona­teurs sont rigou­reu­se­ment pro­té­gés des per­sé­cu­tions de la Police de la Pensée. Il leur suf­fit d’ap­puyer sur le bou­ton ci-des­sous pour faire un don qui échap­pe­ra à la vin­dicte de notre « soft dictature ».

Tous les dons supé­rieurs ou égaux à 50 euros rece­vront un reçu fis­cal que nos dona­teurs sont libres de faire valoir ou pas. Ce reçu per­met de béné­fi­cier d’un avoir fis­cal de 66% dans la limite de 20% du reve­nu impo­sable du foyer (case 7 UF de la décla­ra­tion 2042).

En 2020, c’est sûr : Nice Provence Info continue !

Opiniâtrement, indé­fec­ti­ble­ment, « sans haine, ni vio­lence », nous conti­nue­rons d’œuvrer à l’é­veil des consciences car tel est notre dessein.

Nous gar­dons aus­si tou­jours en tête les encou­ra­ge­ments de Guillaume de Nassau, prince d’Orange (1533 – 1584) : « Point n’est besoin d’es­pé­rer pour entre­prendre, ni de réus­sir pour per­sé­vé­rer ».

L’équipe de rédaction