Coronavirus : on ne nous dit pas tout

Les Français sentent que les pré­ten­dues « auto­ri­tĂ©s Â», les auto-pro­cla­mĂ©s « experts Â», les mĂ©dias bien pen­sants leur refont le mĂŞme coup de dĂ©s­in­for­ma­tion que lors de la catas­trophe nuclĂ©aire de Tchernobyl avec son nuage radio­ac­tif blo­quĂ© Ă  nos fron­tières.
Il est bien clair que les infor­ma­tions sont fil­trées, contra­dic­toires, par­fois alar­mistes mais bien plus sou­vent rassurantes.

Qui connait la vĂ©ritĂ© ? car il en est bien qui savent et qui cachent

Peu Ă  peu tou­te­fois des bribes d’in­for­ma­tions filtrent mal­grĂ© la cen­sure « Ă  la chi­noise Â» qui s’est ins­tau­rĂ©e. Citons cet article de MĂ©dias Presse Info : « L’étrange coro­na­vi­rus mutant de Wuhan pose ques­tion Â». Nous y lisons notamment :

Analyse géné­tique du coro­na­vi­rus (2019-nCoV) dans BioRxiv
Beaucoup plus étrange est l’analyse faite par des Indiens et pré­pu­bliée le 31 jan­vier 2020. Elle montre que le génome du coro­na­vi­rus (2019-nCoV) est dans l’ensemble simi­laire à des coro­na­vi­rus nor­maux déjà connus.

Mais elle montre aus­si que le génome contient quatre inserts, et ô sur­prise, ces inserts sont des pro­téines du virus du sida HIV‑1. Trois
inserts encodent la gly­co­pro­téine de sur­face gp120 et le qua­trième encode la pro­téine Gag. Ces deux pro­téines per­mettent res­pec­ti­ve­ment l’accrochage sur la cible et l’assemblage du virus du sida HIV‑1.

Les auteurs de l’analyse s’étonnent de la pré­sence de ces inserts de virus du sida humain HIV‑1 dans le gĂ©nome d’un coro­na­vi­rus de chauve-sou­ris. Sans aller jusqu’à dire expli­ci­te­ment que ces inserts sont une crĂ©a­tion arti­fi­cielle, ils ne croient pas que leur pré­sence puisse ĂŞtre for­tuite. Je cite : « It is unli­ke­ly that all 4 inserts in the 2019-nCoV spike gly­co­pro­tein for­tui­tous­ly match with 2 key struc­tu­ral pro­teins of an unre­la­ted virus (HIV‑1). Â» : « Il est peu pro­bable que les quatre inserts dans la gly­co­pro­tĂ©ine du (2019-nCoV) puissent par hasard cor­res­pondre Ă  deux pro­tĂ©ines struc­tu­rel­le­ment essen­tielles d’un autre virus non-appa­ren­tĂ© (HIV‑1). Â» [la source de ce docu­ment a Ă©tran­ge­ment Ă©tĂ© censurĂ©e]

Ils parlent d’une Ă©vo­lu­tion non-conven­tion­nelle et se demandent com­ment un coro­na­vi­rus a pu acqué­rir natu­rel­le­ment de tels inserts d’un autre virus.

Autrement dit, si on lit entre les lignes, ce coro­na­vi­rus (2019-nCoV) est une chi­mère, créée en labo­ra­toire, qui com­bine habi­le­ment et sour­noi­se­ment un coro­na­vi­rus de chauve-sou­ris plus ou moins banal avec des pro­téines essen­tielles du virus du sida (HIV‑1).

Autrement dit, c’est une arme de guerre bioen­gé­nie­rée qui se retrouve dans la nature, sans doute à cause d’une erreur ou d’une défaillance quel­conque. Voilà à quoi nous avons affaire.

L’analyse pré-publiée le 31 jan­vier 2020 n’est plus dis­po­nible ce jour. Elle a été reti­rée… De deux choses l’une. Soit l’analyse faite par les Indiens de New Delhi, à la Kusuma School of bio­lo­gi­cal sciences (Indian ins­ti­tute of tech­no­lo­gy) et à l’Acharya Narendra Dev College (University of Delhi) est fausse, soit elle gêne. A cha­cun de se faire son opinion.

Or une autre infor­ma­tion, incon­tour­nable et encore vĂ©ri­fiable en ligne, nous apprend que la France a ven­du Ă  la Chine un centre high-tech de viro­lo­gie, au « niveau 4 de sĂ©cu­ri­tĂ© Â», ce qui lui per­met de mani­pu­ler les patho­gènes les plus dan­ge­reux au monde. Et oĂą est ins­tal­lĂ© ce labo­ra­toire ? Ă€ Wuhan ! Vous n’y croyez pas, et pour­tant cette infor­ma­tion est publiĂ©e par le site du Consulat gĂ©né­ral de France Ă  Wuhan.

Dans le cadre de son voyage offi­ciel en Chine et de sa visite à Wuhan le 23 février 2017, le Premier Ministre a visi­té le labo­ra­toire P4 de Wuhan, de concep­tion fran­çaise, dans le cadre de la coopé­ra­tion bila­té­rale en matière de pré­ven­tion et de lutte contre les mala­dies infec­tieuses.
[ … ]
Le Premier Ministre s’est ren­du sur le site du labo­ra­toire de haute sécu­ri­té bio­lo­gique P4 de Wuhan, pre­mier de ce type en Chine conti­nen­tale. Ce labo­ra­toire de l’académie des sciences de Chine (CAS, Institut de viro­lo­gie de Wuhan) est un labo­ra­toire de concep­tion fran­çaise et pos­sède de nom­breux équi­pe­ments de confi­ne­ment bio­lo­gique de pointe fran­çais et euro­péens.
Accueilli par le Gouverneur de la Province du Hubei (M. WANG Xiaodong), le vice-pré­sident de l’Académie des Sciences chi­noise (M. ZHANG Yaping) et l’Ambassadeur de Chine en France (M. ZHAI Jun), il a effec­tué une visite du labo­ra­toire et par­ti­ci­pé à la céré­mo­nie d’accréditation par l’organisme chi­nois d’accréditation.
Centre high-tech virologie de Wuhan vendu par la France

Il est pour le moins Ă©trange que ce nou­veau virus soit appa­ru pré­ci­sé­ment lĂ  oĂą la Chine a ins­tal­lĂ© son « labo­ra­toire de haute sĂ©cu­ri­tĂ© bio­lo­gique P4​» (source gou­ver­ne­men­tale fran­çaise). Qu’est-ce que signi­fie « P4 Â» ? RĂ©ponse de WikipĂ©dia : 

La clas­si­fi­ca­tion P4 d’un labo­ra­toire signi­fie « patho­gène de classe 4 Â» et le rend sus­cep­tible d’a­bri­ter des micro-orga­nismes très patho­gènes. Ces agents de classe 4 sont carac­té­ri­sĂ©s par leur haute dan­ge­ro­si­tĂ© (taux de mor­ta­li­tĂ© très Ă©le­vĂ© en cas d’in­fec­tion), l’ab­sence de vac­cin pro­tec­teur, l’ab­sence de trai­te­ment mĂ©di­cal effi­cace, et la trans­mis­sion pos­sible par aĂ©ro­sols. La pro­tec­tion maxi­male exi­gĂ©e pour mani­pu­ler ces germes est dĂ©si­gnĂ©e par le sigle NSB4 (niveau de sĂ©cu­ri­tĂ© bio­lo­gique 4).

Pourquoi donc ce silence absolu sur la prĂ©sence de ce laboratoire — français — Ă  Wuhan ? LĂ  oĂą est apparu ce virus !

Les Français sont bien conscients qu’ils sont mani­pu­lĂ©s sur ce sujet comme sur bien d’autres. Mais lĂ  on touche Ă  la vie. Alors pour­quoi cet Ă©cran de fumĂ©e ? Est-ce parce-qu’il ne faut pas Ă©bran­ler le com­merce mon­dial ? Nous Ă©vo­quions dans notre article du 1er fĂ©vrier 2020 la com­pli­ci­tĂ© de l’OMS (Organisation Mondiale de la SantĂ©) qui aurait fusion­nĂ© avec l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce) :
Organisation mondiale de la SantĂ©Organisation Mondiale du CommerceC’est en effet l’Organisation Mondiale de la SantĂ© qui a dĂ©cré­tĂ© le 30 jan­vier 2020 l’urgence inter­na­tio­nale et dans le mĂŞme temps la conti­nua­tion du com­merce inter­na­tio­nal : « L’épidĂ©mie consti­tue une urgence de san­tĂ© publique de por­tĂ©e inter­na­tio­nale Â», mais tout de suite après : « Il ne s’agit pas d’un vote de dĂ©fiance Ă  l’égard de la Chine Â». L’OMS « s’oppose en fait Ă  toute res­tric­tion des voyages ou du com­merce avec la Chine. Â» L’OMC (Organisation Mondiale du Commerce) aurait pu tout aus­si bien publier ce com­mu­ni­quĂ©.
Autrement dit : pas ques­tion de frois­ser la Chine ! On met les per­sonnes en qua­ran­taine, mais pas les porte-conte­neurs et leurs mil­liards de pro­duits en route vers nos ports.

Pendant l’épidĂ©mie, le business mondialisĂ© doit continuer !

Georges Gourdin

Addendum du 19 fĂ©vrier 2020 : c’est pourtant bien vrai, mais chut !