Covid : les anti-vaccins commencent à se faire entendre

3 décembre 2020 | 1 com­men­taire

Alors que plu­sieurs uni­ver­si­taires pré­sentent la « crise sani­taire » comme un grand canu­lar (lire notam­ment Un patho­lo­giste de pre­mier plan affirme que le COVID-19 est « le plus grand canu­lar jamais per­pé­tré sur un public sans méfiance »), qui ne sert de pré­texte que :
à vac­ci­ner tout le monde : des mil­lions de doses sont com­man­dées avant même que le vac­cin pré­sente les assu­rances mini­males de salu­bri­té), et que les conta­mi­na­tions sont en régres­sion ; nos auto­ri­tés achètent donc auprès de Big Pharma des mil­lions de doses pour un vac­cin instable sen­sé nous pro­té­ger d’une mala­die qui ne tue pas plus qu’une grippe sai­son­nière,
à enfer­mer les récal­ci­trants : c’est Emmanuel Macron lui-même qui le confirme dans son dis­cours du 24 novembre 2020 : « Je sou­haite […] des condi­tions d’isolement des per­sonnes, y com­pris de manière contrai­gnante » et la police s’ap­puie­ra sur une loi qui est déjà votée pour jeter les récal­ci­trants en pri­son ; si vous n’y croyez tou­jours pas, lisez ce docu­ment du Parlement.

Heureusement une prise de conscience collective se dessine contre ce holp-up d’État :

Film - Hold-up - Retour sur un chaos

De plus en plus de per­son­na­li­tés intègres et donc cré­dibles, mais encore plus rare : cou­ra­geuses, osent aler­ter les Français sur les dan­gers de ce vac­cin impro­vi­sé. Nous ne relè­ve­rons aujourd’­hui que les pro­pos de deux émi­nents doc­teurs dont la liber­té de parole est assu­rée par leur rejet de la cor­rup­tion orches­trée par les grands labo­ra­toires phar­ma­ceu­tiques : le pro­fes­seur Christian Perronne et le doc­teur Louis Fouché.

Lettre de Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches (2 décembre 2020)

Pr Christian Perronne

Cliquer ici pour accéder au texte du Pr Christian Perronne 
Chers amis,

La France, qui vit un cau­che­mar depuis des mois, se réveille. Dans beau­coup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrou­ver sa liber­té, pour exi­ger le retour de la démo­cra­tie. En tant que méde­cin, spé­cia­liste des mala­dies infec­tieuses et ayant été pré­sident de nom­breuses ins­tances ou conseils de san­té publique, y com­pris sur les vac­cins, je mesure chaque jour les incer­ti­tudes géné­rant la peur et le désar­roi crois­sant de nos concitoyens.

« Je prends le risque d’être à nou­veau qua­li­fié de « com­plo­tiste » ou mieux de « ras­su­riste », termes dési­gnant ceux qui cri­tiquent ou chal­lengent la pen­sée unique »

Je prends le risque d’être à nou­veau qua­li­fié de « com­plo­tiste » ou mieux de « ras­su­riste », termes dési­gnant ceux qui cri­tiquent ou chal­lengent la pen­sée unique. Je finis par être fier de ces appel­la­tions, mes pro­pos expri­mant la véri­té n’ayant jamais chan­gé depuis le début de l’épidémie. Je consi­dère donc qu’il est de ma res­pon­sa­bi­li­té de m’exprimer à nou­veau ce jour sur l’ensemble du volet médi­cal de la Covid-19 et en par­ti­cu­lier sur le sujet vac­ci­nal, désor­mais l’élément cen­tral et qua­si­ment unique de la poli­tique de san­té de l’État.

Beaucoup de Français ont été hyp­no­ti­sés par la poli­tique de la peur. Depuis sep­tembre 2020, on nous avait annon­cé une deuxième vague ter­rible de l’épidémie, pire que la pre­mière. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scien­ti­fique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annon­cé des chiffres catas­tro­phiques avec une aug­men­ta­tion expo­nen­tielle du nombre de morts. Les hôpi­taux devaient être satu­rés et débordés.

Même le Président de la République, lors d’une allo­cu­tion télé­vi­sée récente annon­çant le recon­fi­ne­ment, nous a pré­dit pas moins de 400.000 morts, ren­ché­ris­sant sur les 200.000 morts esti­més peu de temps aupa­ra­vant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréa­listes n’avaient qu’un but, entre­te­nir la peur pour nous faire res­ter confi­nés, sage­ment mas­qués. Pourtant l’usage géné­ra­li­sé des masques en popu­la­tion géné­rale n’a aucun inté­rêt démon­tré scien­ti­fi­que­ment pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV‑2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entou­rage (sur­tout les per­sonnes à risque) et les soi­gnants au contact.

« Le Président de la République nous a pré­dit pas moins de 400.000 morts, ren­ché­ris­sant sur les 200.000 morts esti­més peu de temps aupa­ra­vant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréa­listes n’avaient qu’un but, entre­te­nir la peur pour nous faire res­ter confi­nés, sage­ment masqués »

Or l’épidémie régresse et n’a entraî­né aucune apo­ca­lypse. La dyna­mique de la courbe mon­trait depuis des semaines le pro­fil d’un rebond épi­dé­mique sai­son­nier qui s’observe avec cer­tains virus, une fois la vague épi­dé­mique ter­mi­née. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aus­si le reflet de l’immunité col­lec­tive qui pro­gresse dans la popu­la­tion et qui nous pro­tège natu­rel­le­ment. Les souches de virus qui cir­culent actuel­le­ment ont per­du de leur viru­lence. Les auto­ri­tés ne pour­ront pas dire que c’est grâce au confi­ne­ment car la ten­dance à la baisse avait com­men­cé avant même sa mise en place. La régres­sion de l’épidémie avait même com­men­cé, dans cer­taines agglo­mé­ra­tions, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui sur­viennent chez des per­sonnes très âgées, des grands obèses ou des per­sonnes souf­frant d’un dia­bète sévère, d’hypertension arté­rielle grave, de mala­dies car­dio­res­pi­ra­toires ou rénales déjà inva­li­dantes. Ces per­sonnes à risque sont par­fai­te­ment iden­ti­fiées. Les mesures sani­taires devraient donc être ciblées pour les pro­té­ger, les dépis­ter et les trai­ter le plus tôt pos­sible dès le début des symp­tômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont lar­ge­ment confir­mées, si on donne le trai­te­ment précocément.

Beaucoup de décès auraient pu être évi­tés. Or on a dis­sua­dé les méde­cins géné­ra­listes et les gériatres de trai­ter. Dans ce contexte, conti­nuer à per­sé­cu­ter nos enfants der­rière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vac­cin. Or quel est l’intérêt d’un vac­cin géné­ra­li­sé pour une mala­die dont la mor­ta­li­té est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vac­ci­na­tion de masse est inutile. De plus, les risques de la vac­ci­na­tion peuvent être plus impor­tants que les bénéfices.
Le plus inquié­tant est que de nom­breux pays, dont la France, se disent prêts à vac­ci­ner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces pro­duits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résul­tat de l’efficacité ou de la dan­ge­ro­si­té de ces vac­cins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des com­mu­ni­qués de presse des indus­triels fabri­cants, per­met­tant de faire flam­ber leurs actions en bourse.

« Les pre­miers « vac­cins » qu’on nous pro­pose ne sont pas des vac­cins, mais des pro­duits de thé­ra­pie génique. On va injec­ter des acides nucléiques qui pro­vo­que­ront la fabri­ca­tion d’éléments du virus par nos propres cellules »

Le pire est que les pre­miers « vac­cins » qu’on nous pro­pose ne sont pas des vac­cins, mais des pro­duits de thé­ra­pie génique. On va injec­ter des acides nucléiques qui pro­vo­que­ront la fabri­ca­tion d’éléments du virus par nos propres cel­lules. On ne connait abso­lu­ment pas les consé­quences de cette injec­tion, car c’est une pre­mière chez l’homme. Et si les cel­lules de cer­tains « vac­ci­nés » fabri­quaient trop d’éléments viraux, entrai­nant des réac­tions incon­trô­lables dans notre corps ? Les pre­mières thé­ra­pies géniques seront à ARN, mais il existe des pro­jets avec l’ADN. Normalement, dans nos cel­lules, le mes­sage se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est pos­sible dans cer­taines cir­cons­tances, d’autant que nos cel­lules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétro­vi­rus dits « endo­gènes » inté­grés dans l’ADN de nos chro­mo­somes. Ces rétro­vi­rus « domes­ti­qués » qui nous habitent sont habi­tuel­le­ment inof­fen­sifs (contrai­re­ment au VIH, rétro­vi­rus du sida par exemple), mais ils peuvent pro­duire une enzyme, la trans­crip­tase inverse, capable de trans­crire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étran­ger à notre corps et admi­nis­tré par injec­tion pour­rait coder pour de l’ADN, tout aus­si étran­ger, qui peut alors s’intégrer dans nos chro­mo­somes. Il existe donc un risque réel de trans­for­mer nos gènes défi­ni­ti­ve­ment. Il y a aus­si la pos­si­bi­li­té, par la modi­fi­ca­tion des acides nucléiques de nos ovules ou sper­ma­to­zoïdes, de trans­mettre ces modi­fi­ca­tions géné­tiques à nos enfants. Les per­sonnes qui font la pro­mo­tion de ces thé­ra­pies géniques, faus­se­ment appe­lées « vac­cins » sont des appren­tis sor­ciers et prennent les Français et plus géné­ra­le­ment les citoyens du monde, pour des cobayes.

« Les per­sonnes qui font la pro­mo­tion de ces thé­ra­pies géniques, faus­se­ment appe­lées « vac­cins » sont des appren­tis sor­ciers et prennent les Français et plus géné­ra­le­ment les citoyens du monde, pour des cobayes »

Nous ne vou­lons pas deve­nir, comme les tomates ou le maïs trans­gé­niques des OGM (orga­nismes géné­ti­que­ment modi­fiés). Un res­pon­sable médi­cal d’un des labo­ra­toires phar­ma­ceu­tiques fabri­cants a décla­ré il y a quelques jours qu’il espé­rait un effet de pro­tec­tion indi­vi­duelle, mais qu’il ne fal­lait pas trop espé­rer un impact sur la trans­mis­sion du virus, donc sur la dyna­mique de l’épidémie. C’est bien là un aveu dégui­sé qu’il ne s’agit pas d’un vac­cin. Un comble.

Je suis d’autant plus hor­ri­fié que j’ai tou­jours été en faveur des vac­cins et que j’ai pré­si­dé pen­dant des années des ins­tances éla­bo­rant la poli­tique vac­ci­nale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrê­me­ment inquié­tant. Louis Pasteur doit se retour­ner dans sa tombe.
La science, l’éthique médi­cale et par-des­sus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian Perronne

[source]

Le doc­teur Louis Fouché, méde­cin anes­thé­siste-réani­ma­teur à l’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille, émet éga­le­ment les plus grandes réserves sur l’op­por­tu­ni­té de ce vaccin :

Nos lec­teurs qui sou­haitent se docu­men­ter sur ce sujet en dehors des médias sub­ven­tion­nés se repor­te­ront avec bon­heur au site Réinfo Covid.

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