Les fangeux

24 mai 2021 | 2 Commentaires 

Jusqu’ici nous avions,
• le contrôle tech­nique pour la voi­ture
• le diag­nos­tic pour la mai­son
• et main­te­nant, le – Pass Sanitaire – pour l’é­tat de notre corps

Nous sommes deve­nus en peu de temps comme autre­fois les ani­maux dans la loi, des meubles ou des objets du quotidien.

Bien sûr, on nous serine qu’il s’a­git d’une « mesure pro­vi­soire »… Pas sûr. Parce que des inter­ve­nants appar­te­nant au domaine médi­cal viennent, comme d’ha­bi­tude nous pous­ser leur chan­son­nette scien­ti­fique qui se veut, non seule­ment convain­cante, mais exi­geante, ciblant en par­ti­cu­lier les récal­ci­trants, qu’il va fal­loir comme dans une valse à trois temps, inci­ter, convaincre, obli­ger… et, empor­té par une fougue colé­rique, l’un d’eux s’est même excla­mé, qu’il allait fal­loir uti­li­ser des moyens un peu plus forts, des avan­tages peut-être ou la per­sua­sion, parce que pour faire la fête, il faut être vacciné !

Y’a donc d’la joie… mais pas tant que ça, parce qu’il a ajou­té que si rien ne fonc­tion­nait dans ce sens, cette – fange – de la popu­la­tion allait devoir plier sous le joug de l’au­to­ri­té. C’est juste une ques­tion de temps. Soulignons que le « fan­geux » qui refuse de rece­voir une injec­tion (de sur­croît pour cer­tains dans des vélo­dromes ce qui est d’un mau­vais goût abso­lu…) Rafle vélodrome - Juillet 1942est donc assi­mi­lé à un être boueux, vaseux, à un marais dans lequel on s’embourbe, à une por­che­rie dans laquelle se vautrent les cochons, à quelque chose d’ab­ject et de mépri­sable. Résistants à la som­ma­tion, vous serez donc doré­na­vant consi­dé­rés comme des pour­ceaux mal­sains et gluants, des pes­ti­fé­rés, des reje­tés de la com­mu­nau­té. Qu’on se le dise.

Alexandra SCHREYER

Troll fangeux

2 Commentaires 

  1. Je pré­fère être un fan­geux qu’un pour­ri comme eux !!!
    Après une bonne douche je serai pré­sen­table alors qu’eux ils seront tou­jours pourris !!!

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  2. Que ces para­sites méde­cins et poli­tiques conti­nuent et ain­si plus forte et dévas­ta­trice sera leur chute. Le monde d’a­vant nous n’en vou­lons plus car demain nous aurons un monde qui res­pecte le vivant. Pourriture mon­dia­liste votre heure approche !

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