Le voile se lève sur les comportements pédosatanistes des élites

Bien rares étaient les médias qui révé­lèrent en 2016 l’in­sou­te­nable scan­dale du « Pizzagate ». Nice Provence Info pour­tant le fit. Hélas ces articles déran­geants ont été effa­cés par notre ancien héber­geur OVH. C’est que l’on touche ici à l’un des inter­dits les plus tabous du Politiquement Correct.

PizzaGate Hillary Clinton

Hillary Clinton, au cœur du Pizzagate

Rappelons nous que Bayrou fut obli­gé de s’ex­cu­ser parce-qu’il rap­pe­lait à Daniel Cohn-Bendit ses propres écrits sur ses pen­chants pédo­philes. Extraits :

« Il m’était arri­vé plu­sieurs fois que cer­tains gosses ouvrent ma bra­guette et com­mencent à me cha­touiller. Je réagis­sais de manière dif­fé­rente selon les cir­cons­tances, mais leur désir me posait un pro­blème. Je leur deman­dais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pour­quoi m’avez-vous choi­si, moi, et pas d’autres gosses ? Mais s’ils insis­taient, je les cares­sais quand même ». […] « J’avais besoin d’être incon­di­tion­nel­le­ment accep­té par eux. Je vou­lais que les gosses aient envie de moi, et je fai­sais tout pour qu’ils dépendent de moi ».
Ce n’est pas Cohn-Bendit qui s’est excu­sé, c’est Bayrou ! D’autres per­son­na­li­tés poli­tiques fran­çaises bien en vue affichent éga­le­ment leur per­ver­si­té en toute impu­ni­té tan­dis qu’outre-Atlantique des forces sourdes s’or­ga­ni­saient pour éra­di­quer cette dépravation.

Le mur du silence se brise aux États-Unis. Mais pas dans la presse française.

Cela a com­men­cé avec la chute aus­si bru­tale qu’i­nat­ten­due du mac d’Hollywood : Harvey Weinstein. C’était le début d’un com­bat aus­si tita­nesque que secret dans les cou­lisses du Pouvoir aux États-Unis. Malgré sa proxi­mi­té avec Jeffrey Epstein,
Donald Trump - Jeffrey Epsteinon peut pen­ser que Donald Trump joue un rôle impor­tant dans ce net­toyage puis­qu’il avait annon­cé lors de sa cam­pagne élec­to­rale qu’il ferait condam­ner Hillary Clinton. Peu à peu Trump a pla­cé ses pions face à une hos­ti­li­té vent debout du Politiquement Correct aux États-Unis comme en France. Malgré ses appuis au cœur du Pouvoir amé­ri­cain chez les Démocrates et dans les grands médias, Epstein est tom­bé. C’est une nou­velle d’une impor­tance consi­dé­rable qu’au­cun média fran­çais — ou presque — n’a trans­mise. Il convient donc de s’in­ter­ro­ger sur les conni­vences du Pouvoir en France avec les réseaux pédo­sa­ta­nistes amé­ri­cains. De quelle nature sont-elles ? Cependant la brèche est ouverte et les médias alter­na­tifs s’y glissent peu à peu. Le 11 juillet deux sites alter­na­tifs majeurs révèlent tou­te­fois l’in­for­ma­tion :
• le site suisse fran­co­phone LesObservateurs.ch titre : Jeffrey Epstein, l’affaire de pédo­phi­lie du siècle
• tan­dis que Médiapart avance : L’élite et l’oligarchie mon­diales pédo­philes (vous avez bien noté : mon­diales et pédo­philes avec un S).
• auourd’­hui dans le Saker fran­co­phone : Au cœur des ténèbres : les pré­da­teurs sexuels au sein de l’élite du pou­voir amé­ri­cain.

La presse fran­çaise pré­fère se consa­crer aux homards de François de Rugy. Cela pro­té­ge­ra tou­jours notre élite pédo­phile, le temps de la polé­mique. Mais l’af­faire de Rugy avance bien vite — trop vite ? — et voi­ci que la pédo­cri­mi­na­li­té se retrouve au devant de la scène et enfle­ra en même temps que l’af­faire Jeffrey Epstein se dévoilera.

Massimo Luce

Notre illus­tra­tion à la une : tableau de Francisco Goya, peint en 1798 et inti­tu­lé « Le sab­bat des sor­cières ». On appe­lait « sab­bat » les assem­blées que les sor­ciers et sor­cières tenaient la nuit sous l’autorité du Diable, pour célé­brer les rites sata­nistes et se livrer entre eux à tous les empor­te­ments de leurs pas­sions obs­cures et déviantes. Parmi ces pas­sions : la pédo­cri­mi­na­li­té. Le tableau de Goya repré­sente de tout jeunes enfants offerts à Satan pour célé­brer les rites cri­mi­nels qu’il affec­tionne. Les enfants morts sont ensuite exhi­bés sur une perche.