Pfizer, faux vaccin mais vrais risques

22 jan­vier 2021 | 5 Commentaires 

Le « vaccin » Pfizer n’est pas un vaccin

Pas au sens ori­gi­nel du moins. Encore moins au sens pas­to­rien. Il n’i­no­cule pas une forme affai­blie d’un virus natu­rel pour sti­mu­ler les réac­tions immu­ni­taires dédiées du patient. Il s’a­git de l’in­tro­duc­tion d’ARN mes­sa­ger, cette opé­ra­tion pos­sé­dant les plus grandes chances de modi­fier à terme l’ADN du corps qui le reçoit. De sur­croît il semble bien que la chaîne du virus COVID-19 n’existe pas à l’é­tat de nature. Il appa­raît des mor­ceaux de séquence créés en labo­ra­toire. On est donc très loin de l’es­prit et de la lettre du vaccin.

Le « vaccin » Pfizer n’est pas non plus un médicament

Il n’a pas sui­vi le pro­to­cole d’es­sais cli­niques affé­rent à cette qua­li­fi­ca­tion. On en est même tout juste à la moi­tié du par­cours médi­co-admi­nis­tra­tif. Dans la pré­ci­pi­ta­tion due à la course effré­née pour l’oc­cu­pa­tion du mar­ché en pre­mier, la phase III débute à peine. Ce sont d’ailleurs les vac­ci­nés d’au­jourd’­hui qui vont ser­vir de sujets d’ex­pé­ri­men­ta­tion pour cette phase. Il n’est pas cer­tain que les braves gens qui sont piqués en ce moment en soient conscients. Il est peu pro­bable qu’ils aient été clai­re­ment infor­més et ensuite soient demeu­rés volon­taires, avec consen­te­ment éclai­ré. La déon­to­lo­gie est tout aus­si bafouée que le pro­to­cole médi­cal et scien­ti­fique. Pas de phase IV, for­cé­ment. Encore moins de pre­miers élé­ments de pharmacovigilance.

Ni vac­cin ni médi­ca­ment à ce stade, le « vac­cin » Pfizer ne pos­sède pas non plus d’an­té­cé­dent connu en termes d’ex­pé­ri­men­ta­tion sur l’homme (Pr Christian Perronne : « Moderna, Pfizer, ce ne sont pas des vac­cins, c’est de la thé­ra­pie génique », 1 mil­lion 600 000 vues en quelques jours). Ni même de façon concluante sur l’a­ni­mal. Le seul pré­cé­dent, ce sont les OGM en culture. Avec toutes les réserves éthiques et sani­taires que l’on peut émettre.

Il reste par consé­quent hasar­deux, le mot est peut-être faible, de :
• « Vacciner » des per­sonnes jeunes, soit en-des­sous de 65 ans au sens cou­ram­ment employé pour l’é­pi­dé­mie COVID-19. Ces per­sonnes, pour la plus grande part, sont saines. Et celles qui par hypo­thèse auraient contrac­té le virus de toutes façons auraient ipso fac­to déve­lop­pé natu­rel­le­ment les défenses immu­ni­taires adé­quates.
• Modifier poten­tiel­le­ment, sans recul sur la courte ou moyenne – et encore moins longue – période l’ADN des « vac­ci­nés ». C’est un jeu d’apprenti-sorcier, sans le moindre recul chro­no­lo­gique.
• Prendre le risque de hâter la fin de vie des plus de 65 ans,

• soit parce qu’ils étaient épar­gnés par le virus jus­qu’à pré­sent,
• soit parce que atteints par ce virus leur vie n’é­tait pas en dan­ger jus­qu’à main­te­nant,
• soit parce que – virus­sés ou non à la date de « vac­ci­na­tion » – avec l’i­no­cu­la­tion du « vac­cin » ils risquent fort de déve­lop­per des réac­tions immu­ni­taires trop fortes, ou – pire – col­la­té­rales, qui à leur âge leur seront fatales.

Sauf à ce que l’ob­jec­tif soit de hâter le confort des familles qui ont à s’oc­cu­per de vieux, de libé­rer des places en EHPAD, de don­ner un peu d’air finan­cier aux régimes de retraite, d’é­li­mi­ner pré­ma­tu­ré­ment une caté­go­rie d’âge qui vote rare­ment pour le pro­gres­sisme débri­dé, d’a­van­cer suf­fi­sam­ment de suc­ces­sions pour que cette trans­mis­sion de patri­moines dope la consom­ma­tion, les géné­ra­tions plus jeunes pré­sen­tant un taux d’é­pargne moyen ou mar­gi­nal net­te­ment infé­rieur à ceux de leur aînés. Et une pro­pen­sion à consom­mer supérieure.

Mais si c’é­taient ces der­niers objec­tifs qui consti­tuaient les véri­tables fins des mesures prô­nées par les diverses auto­ri­tés publiques et pri­vées, rabâ­chées par les médias, alors on serait loin des pré­oc­cu­pa­tions sani­taires allé­guées et des sou­cis affi­chés de san­té publique… Et beau­coup plus proches d’une vision cynique et lamen­table des auto­ri­tés, aveu­glées qu’elles seraient par le maté­ria­lisme et l’immédiateté.

Il exis­te­rait bien, cepen­dant, une phase de tests inté­res­sante, même si sta­tis­ti­que­ment la popu­la­tion concer­née n’est ni nom­breuse ni représentative. S ils meurent le pays est sauvé

Parallèlement le PDG de Pfizer lui-même, Albert Bourla, attend pour se faire vac­ci­ner. Il allègue qu’il ne vou­drait pas don­ner l’impression de « cou­per la file », car il ne fait pas par­tie selon lui des publics prio­ri­taires. Il consi­dère en effet qu’il est « jeune (59 ans) et en bonne san­té ». On reste confon­du devant une telle abné­ga­tion de sa part. Ou du moins un tel niveau d’altruisme.

Marc Desgorces-Roumilhac

5 Commentaires 

  1. Oui, ce n’est pas un vac­cin. C’est un che­val de Troie, c’est à dire l’exact contraire d’un vac­cin.
    Ce che­val de Troie va ouvrir la voie à de mul­tiples infec­tions. Comme les com­plo­teurs détiennent tous les médias ce sera la faute de « variants ». Nous devrons donc nous faire « vac­ci­ner » à nou­veau. Bref un crime parfait !

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  2. Quelle honte, on ne nous dit pas tout. C’est qui les din­dons de la farce ?

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  3. Votre vision de la réa­li­té est dure ! mais votre humour est arri­vé à me faire sourire 😀

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  4. Il est clair que ce pseu­­do-vac­­cin a une voca­tion eugé­niste. Il éli­mine d’a­bord les vieux inutiles et coû­teux, comme nous l’ex­plique Jacques Attali, puis les per­sonnes vul­né­rables (c’est écrit noir sur blanc dans les consignes de san­té publique). Ça va faire un pre­mier tri à court terme.
    Puis on va vac­ci­ner tous les veaux qui en rede­mandent et se pré­ci­pitent pour aller à l’a­bat­toir. Cela les éli­mi­ne­ra éga­le­ment à moyen terme. Mais qui s’en plain­dra ? Puisque la sélec­tion natu­relle ne fonc­tionne plus, « ils » ont inven­té la sélec­tion vac­ci­nale.
    Alors les veaux : allez y ! Patientez un peu : il y en aura pour tout le monde !

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    • L’objectif serait de réduire la popu­la­tion à 0,5 mil­liard d’in­di­vi­dus sur Terre. De plus les sur­vi­vants, hors l’Élite au pou­voir, seront qua­si­ment des esclaves.

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